Octobre 2025 : Les expositions à découvrir ce mois-ci dans l’Est parisien

À la recherche de sorties culturelles ? Du Marais à Romainville en passant par les Buttes-Chaumont et République, laissez-vous guider à travers notre sélection d’expositions du mois !

 

 

 

Gianni Berengo Gardin – Vera Fotografia

Jusqu’au 25 octobre 2025

All’interno del depositio dell’atm, Milano, 1986 – Œuvre présentée dans le cadre de l’exposition Vera Fotografia à la Polka Galerie © Gianni Berengo Gardin

« Polka rend hommage à Gianni Berengo Gardin, l’un des plus grands photographes italiens du XXe siècle décédé le 6 août 2025, et à son œuvre profondément ancrée dans le réel. Photographe du quotidien, des marges, du travail ainsi que des mutations sociales et architecturales de l’Italie contemporaine, Berengo Gardin a toujours revendiqué une photographie « vraie », directe, jamais mise en scène. Ce n’est pas un hasard si l’inscription « Vraie photographie » figure au dos de chacun de ses tirages originaux : il s’agit d’une déclaration d’intention, presque d’un manifeste. Une clé pour trier le bon grain de l’ivraie, pour saisir et distinguer ce qui est vrai et ce qui relève de l’illustration. Avec un choix clair et assumé : documenter au sens le plus noble du terme, raconter « ce qui doit être changé, autant que ce qui doit être célébré », pour reprendre la formule de Lewis Hine. Fidèle à l’esprit du reportage documentaire, Berengo Gardin capte des fragments de vie dans leur vérité nue – des ouvriers en marche vers l’usine, des communautés roms, la folie des grands navires dans la lagune de Venise ou la vie quotidienne dans les campagnes italiennes. »

Mardi à samedi : 11h-19h – Entrée libre

Polka Galerie
12 rue Saint-Gilles, 75003 Paris
www.polkagalerie.com

 

 

Odonchimeg Davaadorj – One Breath, Many Voices

Jusqu’au 31 octobre 2025

Blue eye doesn’t cry, 2025, huile sur toile – Œuvre présentée dans le cadre de l’exposition One Breath, Many Voices à Backslash Gallery © Odonchimeg Davaadorj

« Pour sa quatrième exposition personnelle à Backslash, Odonchimeg Davaadorj explore avec puissance et délicatesse l’idée d’union comme moteur de croissance, de résilience et de vie. À travers un parcours lyrique mêlant dessins, sculptures et peintures de tous formats, l’artiste propose une réflexion profonde sur la complémentarité entre les êtres humains, les animaux et la nature. Née en Mongolie et installée en France, Davaadorj développe depuis une dizaine d’années une œuvre singulière où la fragilité du vivant dialogue avec des récits personnels et symboliques. Ses œuvres, à la fois délicates et puissantes, explorent les liens invisibles entre l’humain et son environnement, tout en questionnant l’identité, la mémoire et la transformation. À travers des figures hybrides et des motifs organiques, l’artiste tisse un monde intime et onirique, ancré dans ses racines mais ouvert sur une réflexion universelle. La verticalité, notion centrale de l’exposition, se révèle comme symbole de l’élan vital et de la croissance. À l’image des plantes qui cherchent la lumière, les œuvres mettent en scène des figures humaines et animales qui s’élèvent, non pas seules, mais soutenues les unes par les autres, enracinées dans des liens visibles ou invisibles. Chaque élément est un pilier, une fondation fragile mais essentielle. Sans l’un d’entre eux, l’édifice s’effondre. »

Mardi à samedi : 14h-19h – Entrée libre

Backslash
29 rue Notre-Dame de Nazareth, 75003 Paris
ww.backslashgallery.com

 

 

Mathilde Denize – Camera Ballet

Jusqu’au 11 janvier 2026

Sound of Figure, 2025 – Œuvre présentée dans le cadre de l’exposition Camera Ballet au Plateau – FRAC Île-de-France © Mathilde Denize

« Le Frac Île-de-France invite Mathilde Denize à investir l’espace du Plateau pour sa première exposition personnelle dans une institution francilienne. Sa pratique artistique fait dialoguer peinture et sculpture – qui sont pour elle indissociables – installation, vidéo et performance. Elle développe une œuvre singulière, où les formes naissent de l’assemblage, de la transformation et du recyclage. Ses peintures, souvent proches du vêtement ou du costume, sont à la fois des surfaces picturales et des objets portables, à la frontière du tableau, du volume et de la scénographie. Elle découpe ses anciennes toiles, y greffe des fragments de matériaux trouvés, d’objets abandonnés. Ses techniques de découpe et de montage évoquent celles du champ cinématographique. De cette archéologie personnelle naissent des œuvres hybrides : costumes sans corps, entre armure et camouflage, silhouettes flottantes, figures en suspension. […] Mathilde Denize opère un travail de mise en scène de ses toiles, les métamorphosant ainsi en de véritables “tableaux-théâtres”. À travers ses installations, elle propose des espaces de perception plutôt que de narration, nous invitant à nous laisser traverser par les formes et les affects. »

Mercredi à dimanche : 14h-19h – Nocturne chaque premier mercredi du mois jusqu’à 21h – Entrée libre

Le Plateau – FRAC Île-de-France
22 rue des Alouettes, 75019 Paris
www.fraciledefrance.com

 

 

Bulle Derouette, Elisa Filomena, Megan Laurent, Myriam Mechita & Anaïs Oudart – Had to do it

Jusqu’au 25 octobre 2025

Vue d’exposition – Œuvres de la photographe Anaïs Oudart présentées dans le cadre de l’exposition Had to do it à la Galerie Bessaud © Anaïs Oudart

« Le titre, Had to do it, est emprunté à un poème performé par Niki de Saint Phalle, The Killing Song. Elle y prononce ces mots comme un seuil, une coupure, une délivrance. À leur tour, Bulle Derouette, Elisa Filomena, Megan Laurent, Myriam Mechita et Anaïs Oudart s’emparent de cette impulsion vitale pour faire apparaître des oeuvres intimes, frontales, irrévocables et poétiques. Certaines oeuvres ne s’expliquent pas. Elles surgissent. Had to do it : Ces quatre mots tracent la ligne de force de cette exposition. Les artistes ne partent pas d’un discours, mais d’un point de bascule. Il ne s’agit pas de représenter le féminin : il s’agit de le traverser, de le faire parler autrement. Le “female gaze” ne se regarde pas. Il transperce. Il insiste. » — Megan Laurent, curatrice associée

Jeudi à vendredi : 14h-19h – Samedi : 14h-18h – Entrée libre

Galerie Bessaud
24 bis rue de Charenton, 75012 Paris
galeriebessaud.com

 

 

Eloïse Labarbe-Lafon – American Album

Jusqu’au 25 octobre 2025

Œuvre présentée dans le cadre de l’exposition American Album à la Polka Galerie © Eloïse Labarbe-Lafon

« C’est une autre histoire du road-trip américain qu’Eloïse Labarbe-Lafon raconte. Certaines images sont pourtant immuables : les grands espaces, les structures montagneuses, les banquettes de diners et les intérieurs de motels… mais dans American Album, les couleurs transforment cet univers bien connu des photographes en une réalité illusoire. Dans cette première exposition personnelle à la galerie Polka, la photographe plasticienne reprend la structure éclectique d’un album : une accumulation frénétique d’instants capturés pendant plusieurs mois sur les routes étasuniennes, où une fuite amoureuse se dessine tandis que le rêve américain devient mirage. Grâce à sa maîtrise de la peinture à l’huile, appliquée sur ses photos en noir et blanc, Eloïse Labarbe-Lafon met du rouge dans le ciel, du bleu sur terre et du rose aux joues. D’une photo à l’autre, des empreintes digitales se distinguent parfois, jouant de la peinture au doigt et au pinceau. La main de l’artiste entre au contact du corps sur l’image, dans une alchimie des peaux et des couleurs. Chaque photographie peinte modifie un peu plus la perception habituelle de ces lieux : les teintes pastels auréolant des machines à sous ou des façades lumineuses – objets et inscriptions surannés, devenus les signes d’une poésie à requalifier. »

Mardi à samedi : 11h-19h – Entrée libre

Polka Galerie
12 rue Saint-Gilles, 75003 Paris
www.polkagalerie.com

 

 

Louise Laborie – Highway 61

Jusqu’au 14 octobre 2025

Highway 49, aquarelle – Œuvre présentée dans le cadre de l’exposition Highway 61 à la Slow Galerie © Louise Laborie

« La légendaire Highway 61, aussi surnommée “La route du Blues”, est le rêve de Louise Laborie depuis son enfance bercée de musique américaine : ”À 14 ans j’étais fan d’Elvis, et je rêvais déjà de ce roadtrip sur la route 61, de Chicago à La Nouvelle Orléans. Je voulais fouler les pas de mes musiciens et musiciennes préférés, voir ces paysages mythiques de mes propres yeux et trouver une résonance supplémentaire dans cette musique que j’adore”. Partie en octobre 2024 pour un mois sur les routes américaines, elle a pensé cette exposition comme un carnet de voyage, extraits de moments choisis, illustrés et sublimés par le souvenir. On déambule de dessins en dessins, avec l’impression d’aller très loin et de mettre nos pas dans les siens. En fil rouge, cette musique américaine qui est l’ADN de Louise, et à qui elle rend hommage en lui donnant une si grande place pour sa toute première exposition, comme un remerciement qu’elle aurait depuis longtemps préparé. “J’écoute de la musique du moment où je me lève jusqu’au moment où je me couche, et des fois j’en rêve la nuit. J’écoute de tout, des trucs les plus vieux et ringards aux stars de la pop les plus tendance. J’adore particulièrement la musique étasunienne : le blues, la soul, le rock’n’roll, le jazz, la country…” »

Lundi à samedi : 11h-19h – Entrée libre

Slow Galerie
5 rue Jean-Pierre Timbaud, 75011 Pari
 www.slowgalerie.com

 

 

Simon Vansteenwinckel – The Horse Nation

Jusqu’au 25 octobre 2025

Big Foot Pass, parc national des Badlands, Dakota du Sud, États-Unis, décembre 2023 – Œuvre présentée dans le cadre de l’exposition The Horse Nation à la Polka Galerie © Simon Vansteenwinckel

« Le Fonds de dotation La Cense présente The Horse Nation de Simon Vansteenwinckel, lauréat de la première édition du Prix International La Cense de la Photographie de Cheval, présidée par Viggo Mortensen et parrainée par Yann Arthus-Bertrand. Une chevauchée spirituelle au cœur de la tribu Lakota dans le Dakota du Nord et du Sud. Chaque hiver, ces indiens de la nation Sioux honorent la mémoire de leurs ancêtres tombés lors du massacre de Wounded Knee. En décembre 1890, dans les plaines glacées du Dakota, un drame se noue. Le chef sioux Sitting Bull est abattu par la police indienne sous l’autorité de l’armée américaine. Face à cette perte et à la menace grandissante, un groupe de Lakotas refuse de se soumettre. Ils prennent la route, espérant trouver refuge auprès du chef Big Foot à Wounded Knee. Sans le savoir, ils marchent vers l’un des chapitres les plus sombres de l’histoire amérindienne. Depuis, chaque hiver, leurs descendants rejouent cette marche funèbre à cheval. Une traversée de 450 kilomètres, menée dans des conditions extrêmes, où le mercure peut chuter jusqu’à –20 °C. Cette route de mémoire, entre exil et deuil, devient un acte de résistance et de transmission. Il ne s’agit plus seulement de marcher dans les pas des disparus, mais de tracer un chemin pour les vivants. Scènes énigmatiques, silhouettes à contre-jour, chevaux fantomatiques dans le blizzard… Les images aux couleurs sourdes de Simon Vansteenwinckel capturent avec une grande justesse la tension entre présence et absence, entre passé et présent. »

Mardi à samedi : 11h-19h – Entrée libre

Polka Galerie
12 rue Saint-Gilles, 75003 Paris
www.polkagalerie.com

 

 

Salon AKAA – Also Known As Africa

Du vendredi 24 au dimanche 26 octobre

Cornucopia, 2025 [recadré] © Olivié Keck – Quand les fleurs nous sauvent / Purity, 2025 [recadré] © Armando Mariño – Galerie Anne de Villepoix – Œuvres présentées dans le cadre du salon AKAA – Also Known As Africa

Le salon Also Known As Africa fait son retour sous la halle du Carreau du Temple pour sa 10e édition. Dédié à la création contemporaine des artistes du continent africain et de ses diasporas, il rassemblera cette année les œuvres d’une quarantaine de galeries françaises et internationales, avec une centaine de créatrices et créateurs représentés. Plusieurs adresses de l’Est parisien participeront à l’événement, prévu du vendredi 24 au dimanche 26 octobre – on y retrouvera ainsi Backslash (Riley Holloway, Fahamu Pecou, Duncan Wylie) ou la galerie Anne de Villepoix (Atsoupé, Bouvy Enkobo, Armando Mariño). Peinture, photographie, dessin, sculpture, collage : les amateurs de culture auront de nouveau l’embarras du choix devant la diversité des œuvres mises en avant lors de cette édition anniversaire.

Vendredi : 12h-20h – Samedi : 12h-20h – Dimanche : 12h-18h – 16€/11€

Carreau du Temple
4 rue Eugène Spuller, 75003 Paris
akaafair.com

 

 

Double trouble Exposition de la 1ère édition d’Art Emergence

Jusqu’au 2 novembre 2025

Vue de l’exposition Double trouble, Art Emergence, Frac Île-de-France, Les Réserves © Manuel Abella

« Présentée simultanément aux Réserves du Frac Île-de-France et dans la Chaufferie de la Fondation Fiminco, l’exposition de l’édition inaugurale d’Art Emergence rassemble les projets de fin d’études de 42 artistes et designers diplômés en 2024 de l’ensemble des écoles d’art et de design publiques françaises, à raison d’un diplômé par école. Elle poursuit un double objectif : présenter le projet de diplôme et l’univers singulier de chaque artiste, tout en donnant à voir un panorama des préoccupations esthétiques et politiques qui traversent aujourd’hui la création issue des écoles d’art. L’exposition réunit des œuvres de Emeline Amétis, David Aubriat, Hwayoung Bae, Jérémy Breton, Albanne Cannet Del Litto , Eva Chanoir, Kelly Chery, Lila Crnogorac, Sabrina Da Silva Medeiros, Valentin Degnieau, Cassandra Delpy, Kunga Dempa Tsang, Josselin Desbois, Julie Doriath, Lucie Drazek, Juliette Fanget, Alexandre Ferrani, Thomas Ferreira, Nicolas Foix, Margot Garlenc, Anne Guérain, Maëlle Guillemet d’Orléans, Xianne Han, Guillaume Haurice, Shuyin Hou, Meher Kafalian, Hervé Lechar, Jiwon Lee, Titouan Makeeff, Alix Nguyen, Phuong Thao Nguyen, Billy Roch, Morgane Rousseau, Nassimo Rousseau, Margaux Sahut, Mathieu Sauvat, Ziyin Tan, Mallaury Thenier, Baptiste Thiebaut Jacquel, Maeva Totolehibe, Elisa Verdier, et Ziyu Zhou. »

Mercredi à samedi : 14h-19h – Entrée libre

Les Réserves, Romainville
43 rue de la Commune de Paris, 93230 Romainville
www.fraciledefrance.com

 

 

Tignous Manifeste

Jusqu’au 25 octobre 2025

Œuvre présentée dans le cadre de l’exposition Tignous Manifeste au Centre Tignous d’art contemporain © Tignous

« Dix ans que Tignous et ses dessins nous manquent, que Tignous me manque. Il fallait que Tignous se manifeste ! Il nous laisse une œuvre colossale de plusieurs milliers de dessins, pour la plupart intemporels, avec pour certains la sensation qu’ils ont été couchés sur le papier hier. À l’instar des artistes qui ont traversé les époques et marqué les esprits, Tignous a apposé son empreinte dans le dessin de presse et créé un style, un trait unique, inspiré toute une génération de jeunes dessinateurs. Il était ce grand dessinateur de presse mais aussi un travailleur infatigable, gourmand, un artisan du quotidien et de ses petits bonheurs. Tous ceux qui l’ont connu ou qui connaissaient son travail, parlent de l’homme qui les a marqués, de cette appétence à vivre, de la générosité de son sourire et de sa tendresse, de son talent à nul autre pareil. Alors il fallait changer de paradigme et faire entrer Tignous dans la cour des grands, celle des grands artistes contemporains. Pour cela, j’ai voulu inviter des artistes, des personnalités de la vie politique et publique, et mettre en regard leur collection d’art contemporain avec les dessins de Tignous. Qu’ils nous parlent de lui, qu’ils nous parlent d’art, qu’ils nous parlent d’eux… que le dialogue perdure pour lutter contre le fatalisme et l’indifférence. Refuser de se résigner pour ouvrir des portes toujours plus grandes vers le vivre ensemble et rendre l’art et le rire accessible à tous. Réunir des gens autour d’un projet avec l’envie de partager, cela lui ressemble tellement ! Tel est le Manifeste de Tignous. » — Chloé Verlhac, commissaire

Mercredi et jeudi : 14h-18h – Vendredi : 14h-21h – Samedi : 14h-19h – Entrée libre

Centre Tignous d’Art Contemporain
116 rue de Paris, 93100 Montreuil
centretignousdartcontemporain.fr

 

 

Fol Film Festival

Jusqu’au 5 octobre 2025

© Fol Film Festival

« Pour ce premier projet commun, la collective phèmes et l’association Folle Béton s’associent autour d’une proposition hybride, croisant exposition et programmation de films. Cette collaboration naît d’une volonté partagée : soutenir et valoriser la jeune création artistique à travers de médiums variés. Le Fol Film Festival, organisé chaque année par Folle Béton depuis 2019, offre un espace de diffusion pour des formes visuelles singulières et expérimentales, portées par des artistes étudiant·es ou émergent·es. Jusqu’à maintenant présenté en plein air dans la cour des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD), il s’installe pour la toute première fois cette année au DOC. Fondée en 2023, la collective phèmes réunit huit jeunes curatrices engagées dans la promotion de la création contemporaine et émergente à travers des expositions, publications et manifestations culturelles. Récemment, elles ont curaté l’exposition Coller l’oreille aux colimaçons aux Réserves du Frac Île-de-France à Romainville. »

Tous les jours : 15h-20h – Entrée libre

DOC
26 bis rue du docteur Potain, 75019 Paris
doc.work

 

 

Mille et une vies

Jusqu’au 14 décembre 2025

Sitting biologist, 2023 – Coll. Danièle Marcovici © Kim Simonsson – Photographie : Bertrand Michau, Adagp, Paris, 2025 – Œuvre présentée dans le cadre de l’exposition Mille et une vies à l’Espace Monte Cristo

« À travers une sélection de plus de trente sculptures d’artistes français et internationaux, l’exposition Mille et une vies propose un parcours illustrant les différentes facettes de l’individu en tant qu’être naturel et social, intime et universel. En représentant l’être humain en trois dimensions, les sculptrices et sculpteurs tendent à montrer la face cachée de ce que nous sommes. Que ce soit de manière organique ou fantastique, les œuvres explorent la notion d’altérité en questionnant l’hybridité qui réside en chacun de nous, ainsi que notre rapport au Vivant, ou la construction de notre identité en société, pour enfin rencontrer les différents visages de cet Autre qui se cache au fond de nous. Clôturant ce parcours dans une atmosphère délicate et contemplative, un jardin intérieur fait cohabiter des sculptures dans l’harmonie d’un écosystème apaisé. »

Mercredi à dimanche : 11h-18h30 – Entrée libre

Espace Monte Cristo
9 rue Monte-Cristo, 75020 Paris
fondationvilladatris.fr/espace-monte-cristo

 

 

Illustrations (recadrées) :
Cornucopia, 2025 [recadré] © Olivié KeckQuand les fleurs nous sauvent
Purity, 2025 [recadré] © Armando MariñoGalerie Anne de Villepoix
Œuvres présentées dans le cadre du salon AKAA – Also Known As Africa

 

 

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