Aux côtés des militantes féministes, des personnes exilées et de toutes celles et ceux qui manifestent pour leurs droits, la photographe montreuilloise Noémie Coissac témoigne à travers son objectif de l’engagement et des luttes populaires contre les injustices de notre époque.
La ville de Paris a officialisé ce mardi l’ouverture de La Bulle, lieu d’accueil et de soutien dédié “aux personnes LGBTQI+ les plus stigmatisées”, animé par un collectif de sept associations.
Née à Brest le 24 août 1826, Nathalie Le Mel rejoint la capitale au début des années 1860. Représentante syndicale, elle participe aux grèves des ateliers de reliure puis au lancement du restaurant ouvrier coopératif La Marmite. À l’heure de la Commune de 1871, elle est l’une des cofondatrices de l’Union des femmes pour la défense de Paris. Une placette du Haut-Marais lui rend aujourd’hui hommage.
À la fois journaliste, écrivain, et penseur politique, Jules Vallès naît le 11 juin 1832 au Puy-en-Velay. Après une vie de révoltes, l’ancien élu de la Commune de Paris trouve sa dernière demeure au cimetière du Père Lachaise (20e arrondissement).
Visible jusqu’au 27 mai, l’exposition Regards sur la Commune présente une série de portraits de femmes révolutionnaires de 1871 signée par l’artiste Isabelle Abiven, accompagnée par les toiles de Georges Franco et les combinaisons photographiques de Fred Furgol.
Si le football est souvent associé aux grands clubs aux moyens démesurés, ce sport peut également fédérer dans le haut niveau comme chez les amateurs autour d’enjeux et d’initiatives de société. Le Red Star, le Ménilmontant FC 1871, ou le collectif Les Dégommeuses se sont ainsi emparés du ballon rond avec leurs propres valeurs.
Près de 200 jeunes réfugiés ont passé une troisième nuit à la rue sur la place du Palais Royal, entre les façades du Louvre et du Conseil d’État. Venus d’un campement installé depuis cinq mois sous le périphérique, ils espèrent “visibiliser cette situation et accéder à des hébergements d’urgence en Île-de-France”.
