
Dans le cadre des commémorations de la Semaine sanglante de mai 1871, une plaque en mémoire de l’ancien maire du 20e arrondissement Gabriel Ranvier a été dévoilée au croisement de la rue de Belleville et de la rue du Jourdain.
Dans le cadre des commémorations de la Semaine sanglante de mai 1871, une plaque en mémoire de l’ancien maire du 20e arrondissement Gabriel Ranvier a été dévoilée au croisement de la rue de Belleville et de la rue du Jourdain.
Née à Brest le 24 août 1826, Nathalie Le Mel rejoint la capitale au début des années 1860. Représentante syndicale, elle participe aux grèves des ateliers de reliure puis au lancement du restaurant ouvrier coopératif La Marmite. À l’heure de la Commune de 1871, elle est l’une des cofondatrices de l’Union des femmes pour la défense de Paris. Une placette du Haut-Marais lui rend aujourd’hui hommage.
Après une affluence record pour le cent-cinquantenaire de la Commune l’an dernier, la prochaine montée au Mur est prévue ce samedi 21 avril. Le cortège descendra des hauteurs de Belleville depuis la place des Fêtes, avant de rejoindre le cimetière du Père Lachaise dans l’après-midi.
Les commémorations annuelles des victimes de la Semaine sanglante ont fait résonner les rues du 20e arrondissement ce samedi, 151 ans après la fin de la Commune de Paris.
Il y a un siècle et demi, l’esprit révolutionnaire parisien illuminait une nouvelle fois la marche de l’histoire pendant les 72 jours de la Commune. Exténué par le siège de la ville et les trahisons du gouvernement officiel, le peuple de la capitale se soulève pour imaginer une République plus juste et plus égalitaire. Des femmes et des hommes venus d’horizons divers participent activement à cette expérience insurrectionnelle alors porteuse de grands espoirs.
Le musée d’art et d’histoire Paul Éluard présente jusqu’au 6 mars l’exposition Insurgé·es, qui “entend faire la part belle aux nouvelles approches historiques de la Commune de 1871” en s’appuyant sur les témoignages de celles et ceux “qui ont vécu les événements, et ont transmis leur mémoire”.
Née à Brest le 24 août 1826, Nathalie Le Mel arrive dans la capitale au début des années 1860. Représentante syndicale, elle participe aux grèves des ateliers de reliure puis au lancement du restaurant ouvrier coopératif La Marmite. À l’heure de la Commune de 1871, elle est l’une des cofondatrices de l’Union des femmes pour la défense de Paris. Une placette du Haut-Marais lui rend aujourd’hui hommage.